Des journées spéciales, pour quoi faire ?
Le 21 mars dernier c’était la journée de la trisomie, et, en signe de compréhension et de
bienveillance, certains ont porté des chaussettes dépareillées : ce symbole d’une différence sans
conséquences est-il suffisant pour faire évoluer la perception du public vis-à-vis de ces enfants ?
Le 2 avril sera la journée de sensibilisation à l’autisme : une émission de témoignages à la télé, une
exposition à la canopée des Halles, quelques conférences par ci par là, suffiront-elles à changer le
regard ?
Et il y a aussi la journée du handicap le 3 décembre, et combien d’autres ?
Ce qui compte pour les familles, ce n’est pas seulement le regard de la société, mais ce sont de vrais
moyens pour une meilleure inclusion.
Nous avions rencontré la Directrice et l’Enseignant spécialisé de la classe ULIS d’ Etréchy Lavandières
au moment de l’ouverture en 2019 et encore un an plus tard : nous ferons le point avec eux dans notre prochain article